"Éléments pour un communisme de la Modestie." (Jean-Louis T)

Texte de Jean-Louis T (GA 13 - et Sorti du NPA). A télécharger au format pdf ici
Jean-Louis T (GA 13 - et Sorti du NPA).
 
Éléments pour un communisme de la Modestie : Construire la certitude que nos volontés émancipatrices sont justes, en abandonnant partiellement la volonté de croire que nos certitudes le sont toutes. ( c’est alambiqué, c’est fait exprès et ça s’explique un peu dans le texte qui suit ou Comment être communiste libertaire, défendre une camarade qui porte un voile, se reconnaître dans la Quatrième Internationale, et considérer que la campagne du Front de Gauche est la seule qui augmente le volume d’air respirable dans un pays à l’air vicié depuis trop longtemps même si elle est par trop Républicaine, trop universaliste abstraite et qu’elle n’est pas co-dirigée par notre courant, car nous avons tout fait pour cela. 
Je n’ai aucune prétention à considérer que ce que je pense est plus juste que ce que d’autres camarades essaient également d’élaborer. Il faut juste admettre que nous devons avancer collectivement, socialiser le plus possible nos pensées et nos expériences.
Pour ma part je suis rentré de deux ans en Australie (et je repars peut-être bientôt) au moment où se posait la question de la candidature d’Ilham dans le Npa.
Je commence par ce point non pour reprendre les arguments que j’avais défendus à l’époque, y compris en tant qu’homosexuel (texte Islamophobie et Homophobie sur le site d’Europe solidaire). Nous ne sommes pas d’accord, et ce n’est pas le sujet ici.
Ce qui m’intéresse en ré-abordant ce point c’est précisément de tenter d’expliquer que pour moi il ne s’agissait dans ce soutien pas de certitudes granitiques mais en effet d’amener des parts de doute et de modestie dans la manière de penser le monde. Malgré son ralliement que je trouve incompréhensible à la campagne Poutou qui va à l’opposé de sa thèse de l’époque, je suis en sympathie avec la sociologie de la fragilité développée il y a quelques années par P. Corcuff, pour essayer de repenser le rapport politique au monde et à sa transformation. Cela fait peut-être un peu pompeux mais je vais vous donner le fond de ma pensée sur ce terrain du voile comme sur le terrain de nos relations avec le FdG (entre autres). La problématique qui sous-tend en effet mon rapport à la politique et à la radicalité depuis quelques années est la suivante : les échecs successifs de la gauche révolutionnaire, la difficulté de transformer le monde, et notre incapacité collective à l’avoir fait à ce jour, nécessite de repenser de manière un peu plus modeste, et de « déconstruire », terme un peu trop à la mode, certaines certitudes que nous avons. Soyons bien clairs, il est évident que cette modestie ne soutient absolument pas une vision relativiste du monde, dans laquelle tout se vaudrait. Notre projet d’émancipation maintient des volontés, plutôt que des certitudes.
Nous voulons créer un monde débarrassé des rapports d’exploitation de l’économie capitaliste, de l’économie patriarcale (Delphy, Mode de production domestique), et de toutes les oppressions. Personne ne doit être opprimé pour son sexe biologique, pour son corps, pour son genre, pour sa sexualité, pour sa couleur, pour sa religion, pour son âge etc. etc. Nous venons d’un courant qui a abordé toutes ces questions (le courant de la quatrième internationale) comme le redit Flavia V. dans un texte récent publié dans un bulletin de discussion, en essayant de les construire dans leurs rapports, sans hiérarchiser etc. etc…. Disons le tel quel, je ne considère pas aujourd’hui que je peux avoir quelque chose à dire sur le fait qu’une camarade qui défend des idées très proches des miennes (Ilham n’a jamais défendu en public un seul truc hors du projet NPA) devrait ou pas avoir un projet religieux de vie et que cela se voie.
Si j’essaie malgré moi-même d’être modeste, et surtout modeste politiquement, c’est parce que pour le moment, nous n’avons pas montré totalement que nos analyses du monde avaient toutes été totalement utiles. C’est le moins que l’on puisse dire.
En terme stratégique et tactique, je me pose très sérieusement la question de ce que continue à vouloir dire être révolutionnaire aujourd’hui. D’un point de vue « plus haut », je me pose encore plus la question de savoir ce que continue à vouloir dire aujourd’hui militer, avoir une action sur et dans le monde. Encore plus haut, je peux même me poser en terme agnostique la raison même de l’existence mais ce n’est pas le sujet ici, même si le fait de vouloir insister plus sur les volontés que sur les certitudes joue bien sur tous ces niveaux de poupées russes.
On ne peut pas discuter, comme disait notre ami Daniel Bensaïd, du grand bazar métaphysique, surtout du grand bazar métaphysique de chacun. Ça ne fait pas une ligne politique, mais on peut s’attarder sur la vie réelle accrochée à cette métaphysique personnelle, c’est-à-dire le positionnement que l’on a en terme stratégique et tactique pour maintenir notre volonté de transformer le monde, en élaborant dans le doute.
Pour moi, intégrer la campagne du front de gauche, en partenariat extérieur pour le moment, est fondamentalement un axe stratégique qui lie à la fois la volonté de garder et de repenser notre identité et nos pratiques de révolutionnaires et de se lier à ce qui est la pensée moyenne, pas du tout au sens péjoratif, dans la gauche radicale aujourd’hui, car que nous le voulions ou non, les militants, les sympathisants, les électeurs du front de gauche représentent la pensée moyenne sur laquelle ce « peuple de gauche »  s’accorde sur une rupture. Et la rupture, ils la voient à la fois dans un gouvernement avec les socialistes pour beaucoup, dans les luttes de rue, dans les luttes institutionnelles etc etc … et ils veulent vivre dans un monde beaucoup moins violents et inégalitaire. On ne peut pas beaucoup leur reprocher.
Puisqu’ils représentent ce peuple de gauche avec lequel nous voulons militer et transformer le monde, car on va pas le faire seul, on peut voir les choses de trois manières.
1/ On considère qu’ils se trompent sur certains points et on maintient une ligne ultra pure (certitude) car on est sûr que les coups fourrés de leurs méchantes directions vont les trahir et qu’ils vont entendre nos révélations et nous rejoindre, ou bien
2/ on milite avec elles et eux, on reprend tout par nos expériences (Bensaïd, « On reprend toujours par le milieu ») avec eux et on confronte tout avec l’idée originelle du Npa «  Reprendre les meilleures expériences du mouvement ouvrier et des luttes d’émancipation sociale ».
J’avais écrit dans un texte aussi il y a quelques temps que pour moi le Npa devait être le Parti ou des camarades « entre autre musulmans » et des camarades «entre autre transexuels »  par exemple, pourraient construire un projet politique commun, d’une société commune et que le NPA devait être ce nouveau creuset là, par une refondation profonde de ce qu’est l’émancipation sociale aujourd’hui , sur ce que sont ses médiations etc etc … J’avais pris l’exemple volontairement de ces deux « communautés » (au sens de catégories socialement discriminées) comme « communautés » qui sont à priori plus aptes à se détester qu’à se rencontrer (ce qui est une connerie profonde par ailleurs). Et j’avais pris le projet Npa comme le projet utopique qui pourrait casser les certitudes imposées, pour recréer du sens politique issu d’improbables rencontres. C’est ce que j’aime le plus dans la politique du doute et de la modestie, c’est qu’elle permet beaucoup plus de rencontres que la certitude.
3/ La troisième position est celle de Samy, d’autres camarades qui veulent toujours attendre (attendre quoi) alors que pour la première fois depuis de nombreuses années on est proche d’une forme de recomposition de la gauche radicale avec à la fois des freins internes mais une volonté inépuisable de débats communs à la base.
La campagne Poutou comme la campagne Arthaud, sont des campagnes de certitudes profondes sur la nécessité d’un petit noyau révolutionnaire qui représente un aiguillon pour les masses , dans un rapport mystique et immédiat à celles-ci. La pratique que nous devons avoir en accompagnement le front de gauche est une attitude loyale, non entriste ( car l’entrisme serait une version pleine de certitude de l’éclairage qu’on peut amener à de pauvres réformistes radicaux) qui a comme condition fondamentale de dire clairement ce sur quoi nous sommes d’accords avec la ligne fg globale, nos points de divergences etc … avec la volonté de recomposer la gauche.
Pour cela il est tout de même assez important, de travailler entre nous sur ce que nous voudrions apporter à une campagne de gauche et à terme à une structure commune avec des « communistes français » et des « Républicains de gauche ». Nous devons travailler à côté de ces deux formes françaises historiques de ruptures (partielles) avec l’ordre existant,à la constitution d’un troisième pôle avec les courants les plus proches de ce qu’est notre fondement politique. Ils sont déjà là et ils nous attendent. Mais encore une fois, aujourd’hui tout est poreux, tout se redistribue. A part pour quelques militants aujourd’hui très «certains de tout» il y a surtout une volonté de tout reprendre ensemble.
En tant que militants venants de la LCR pour beaucoup d’entre nous, (et du NPA non LCR pour d’autres), nous devons construire différents cadres utiles comme leviers. J’en vois quatre et bien sûr tout le monde n’est pas obligé de participer à tout. On n’a qu’une vie et on a le droit aussi de faire du sport, de faire des grosses bouffes, de faire l’amour , d’aller au Ciné etc …
GA/ Il est nécessaire que la GA demande à ce que ses militants même hors NPA puissent être membres de la Quatrième Internationale. Ça serait un comble que la tendance interne/externe issue du Npa, lui même issu pour beaucoup de la section française de la quatre/LCR, la plus proche de l’orientation ouverte, non sectaire de la direction de la Quatre, soit empêchée de participer totalement aux travaux de l’Internationale.
CACU/ Il devrait être urgent que ce que nous tentons de faire à Marseille en participant à une coordination des anticapitalistes unitaires soit à terme une volonté nationale, là où les conditions existent ( texte envoyé en bulletin interne de la ga).
 
FORCE AUTOGESTIONNAIRE DU FG ou troisième force du front/ Ces deux premières structures doivent participer sans ambiguïté à la troisième force du fg qui doit se construire à côté du PG et du PCF. ( ça se recoupe un peu avec l’échelon précédent mais c’est pas grave c’est de l’architecture en construction).
FG/ et /ou Bloc anti crise/ Les trois échelons précédent ont comme but de renforcer ces structures collectives beaucoup plus larges.
Pour finir j’aimerais aborder justement les points qui devraient être les boussoles de notre intervention, telle qu’elle peut réellement être apportée par notre courant historique. Les différents points ci-dessous détaillés prendraient à mon avis leur sens dans les débats à mener avec les sensibilités notamment de la Fase et de C et A. La Gu à l’heure actuelle mais je me trompe peut-être me semble opter plus pour un républicanisme de gauche trop a-critique pour moi. Mais j’attends tout démenti si je me trompe.
a/ Une recherche des Lumières critiques.
Il va de soi que la conception de la modestie politique que j’ai tenté de défendre ici ne peut exister que dans le cadre de ce qu’on appelle les Lumières critiques. Il ne s’agit pas de rejeter en bloc tout ce que les Lumières ont pu apporter historiquement à la science, aux Arts etc … Il s’agit juste de pouvoir en reconnaître les carences ou les limites sans tomber du côté d’un romantisme antiLumière qui remettrait en cause de manière totalement relativiste toutes les valeurs qui fondent nos multiples combats. Il existe une perspective universaliste, internationaliste, mais elle ne peut se résumer à l’adaptation du monde entier au type de développement occidental ( c’est à dire issu UNIQUEMENT des civilisations issues des Lumières européennes).
Nous luttons contre l’obscurantisme religieux, nous luttons contre une certaine forme de production capitaliste, nous luttons contre la domination de genre etc. mais nous pouvons aussi intégrer que toutes ces luttes universellement utiles contre les dominations peuvent prendre des formes qui ne sont pas toutes les mêmes car les rapports de forces sociaux, les modes de production, ne sont pas les mêmes dans le monde entier et y compris au sein de chaque société. Il est nécessaire de défendre un projet universaliste ( et internationaliste) sans préjuger de toutes les formes qu’il peut prendre. Comment se mènent les luttes lgbt dans le monde arabe, les luttes des femmes en Inde, quels sont les enjeux que se donnent les mouvements sociaux ? Quand le mouvement ouvrier lutte pour un certain protectionnsime pour « protéger les emplois » en Europe, qu’en pensent les travailleurs des pays dominés etc ? Comment articuler luttes ouvrières des pays impérialistes, des pays dominés, les luttes paysannes, les luttes des femmes, les luttes démocratiques, écologistes, lgbt ? Je n’ai pas toutes les réponses mais je me pose tout de même hors de toute certitude à priori toutes ces questions.
Je vais reprendre ce point lorsque j’aborderai la nature de notre internationalisme possible.
b/ Le féminisme comme politique radicalement anti-autoritaire.
Ce n’est pas un hasard si les quelques textes qui abordent le rapport à l’instrumentalisation dans les milieux militants, les textes les plus critiques envers certaines violences entre militants dans les rapports symboliques etc etc … sont venus ces derniers temps ( et de tout temps à mon avis) de camarades femmes. Nous en avons eu des exemples dans les derniers bulletins de discussion de la ga.
Le féminisme est un axe central de notre socialisme car non seulement il lutte contre l’oppression et l’exploitation des femmes mais il analyse le pouvoir comme un type de fonctionnement social souvent masculin dans sa construction genrée ( pas la peine de sortir l’exemple de Thatcher ça ne remet pas en cause la question à la base). Le féminisme est non pas un supplément d’âme mais une question centrale tout comme la question des luttes lgbt. Mais le féminisme reste pour moi à la base une critique du pouvoir masculin comme pouvoir global. A suivre…
c/La construction d’un mouvement d’auto-émancipation sociale à la base.
Dans la continuité du point précédent, nous sommes un courant politique qui est pour la construction par les opprimé/e/s de leurs propres émancipations. En d’autres termes, oui, il peut y avoir ici, et encore, pas toujours et pas partout, des frictions avec des militants du fg et je pense là notamment dans nos cadres d’interventions syndicales ( Cécile de Toulouse avait écrit un texte sur la question) à des camarades cadres intermédiaires syndicaux dans la fsu, la cgt ou l’Unef notamment, du PG ou du PCF qui peuvent très clairement avoir des tentations de limiter les coordinations étudiantes ou salariées pour privilégier l’appareil syndical dans sa relation et négociation à l’État etc etc …. ( on voit bien ici la relation à l’État et à la République aussi au passage).
J’ajouterai ici au passage qu’en 25 ans à l’extrême-gauche, j’ai bien vu des attitudes aussi « bureaucratiques »  de la part des membres de notre courant par moment, donc je ne serai pas trop critique sur les attitudes d’ autres courants même si la question se pose sérieusement et est révélatrice aussi de la dialectique mouvement social/ institutions etc. Il me semble que nous devons être très vigilants sur ce point qui me semble être fondamental dans notre identité dans nos rapports avec le fg.
d/ La critique constructive de l’État et des institutions. Une République par le bas.
Par conséquent, et quelqu’un comme Samy sur ce point a travaillé beaucoup plus que moi dans des topos pour la société Louise Michel, il faut bien voir à quelle République nous pouvons nous référer avec les Républicains de gauche. Quelles sont les différences entre la République sociale que défend le Parti de gauche, notre idée du socialisme, etc. Quels sont les points communs ? Comment pouvons nous rapprocher tout cela ? Qu’est ce que cela veut dire en terme d’institutions, en terme de lien entre mouvements sociaux, élus, institutions. Etc. etc.
Le socialisme ne peut pas être uniquement un renforcement de l’État. Contre le capitalisme mondialisé, réaffirmer par la politique le fait que dans le cadre d’une élection, le cadre de la souveraineté populaire doit être le fondement de la vie en société est une bonne chose. Contre le capitalisme financier mondialisé, il faut réaffirmer sans complexe le droit de l’État à « confisquer «  la richesse socialement produite par nous toutes et tous et accaparée par les riches mais en aucun cas cela ne peut être suffisant. Plus de services publics, oui bien sur mais comment, avec quelle intervention de la population dans les décisions, quelle réappropriation collective du savoir, quelle lutte contre l’arnaque des experts de la bourgeoisie, quelle éducation populaire, quel rôle des élèves, des parents, des profs et agents ?? Plus d’État mais surtout vers plus d’appropriation sociale des richesses matérielles et intellectuelles produites collectivement.
e/ Un internationalisme qui ne soit pas le simple reflet de rapports de forces entre États mais qui soit radicalement du côté des peuples.
Notre internationalisme mais je ne pense pas que ce soit totalement le cas non plus, au pcf ou au pg, ne peut pas être un internationalisme de relations d’États à États uniquement. Une des limites que je vois dans la dynamique vénézuelienne bolivarienne actuelle qui doit pour autant être soutenue c’est son incapacité à rompre avec une diplomatie anti-impérialiste acritique envers des États à l’anti-impérialisme non seulement d’apparat mais réactionnaires ( Iran/ Syrie etc ) . Cuba n’est pas réactionnaire au même niveau mais quelle doit être la solidarité envers Cuba. Celle envers la clique bureaucratique de Castro ou celle envers le peuple ? Les interventions de JLM sur la Chine ne laissent pas toujours rêveur. En tout cas pas moi. ( je reparlerai pas du Rafale etc etc … ) Que pensent le pg et le pcf du complexe militaro-industriel français etc etc ….
f/ L’éco-socialisme : je renvoie aux travaux de Michael Lowy, de Daniel Tanuro ou d’autres.
Pour finir, je suis persuadé que pour la première fois depuis longtemps ( je n’arrive même pas à dater), notre courant à travers le rassemblement à côté du front de gauche ( pour le moment) qui globalement va dans le bon sens ( rééquilibrage capital/ travail – Antifasciste – défense tout de même pas catastrophique des immigrés – lutte assez inattendue contre l’Islamophobie pour un JLM type franc-mac/rad soc etc ) peut lutter à une échelle de masse pour les idées d’un socialisme libertaire auto-émancipateur . Il s’agit d’un rééquilibrage de l’hégémonie culturelle et politique perdue depuis bien longtemps sur des questions centrales comme l’immigration, la sécurité, l’origine des richesses produites etc …. Nous ne sommes pas d’accord avec le front de gauche sur tous les points mais c’est évident que, même si le fg ne doit pas être notre seul interlocuteur ( Alternatifs/ Npa Poutou), il est le cadre principal dans cette période de transition du monde, dans lequel nous pouvons être utile. En 25 ans de vie révolutionnaire ( parfois militant parfois au repos) je n’ai jamais eu autant l’impression de pouvoir défendre nos idées de manière aussi immédiatement utile.
Si nous savons ce que nous sommes comme courant de l’auto-émancipation communiste libertaire féministe écosocialiste, internationaliste c’est long !!! nous pouvons sans problème rejoindre une construction commune de la gauche anti libérale.
Je vous remercie de m’avoir lu, et pour continuer la discussion y compris en privé, je serais ravi d’avoir vos critiques positives, négatives, modestes, si bien sûr, elles ne sont pas agressives.
début mars 2012
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